Qui sommes-nous ?
https://begood.ma.
Notre structure
Notre structure
Le paysage humanitaire change surtout après la pandémie de Covid. Les changements se sont faits plus organisationnels concernant le travail des associations. Le hi-tech a pris le pas sur les anciennes méthodes de travail. Les associations manquent de nouveaux outils pour développer au mieux leurs infrastructures.
Notre champs d’action
Les associations et leur environnements actules
Comment passer d’un état des lieux ancien siècle à celui actuel ?
Il faut considérer que l’associatif englobait des personnes qui s’épanouissaient à faire le bien autour d’elles. Mais l’époque change et le travail associatif demande des structures comme celle qui a été créée Maghreb Secours qui depuis quelques années s’est volontairement organisée pour optimiser ses compétences.
L’action du charity business a dépassé celui des assocation dites traditionnelles.
Etude de marché
SARLAU BE GOOD :
Dans un monde en mouvement et un nouveau siècle, le « charity business » prend un essor considérable et prend le pas sur l’associatif traditionnel.
Si déjà en Occident cette activité génère des milliards de dollars ou d’euro, au Maghreb on parle plus d’actions humanitaires en adéquation avec l’altruisme voire l’esprit religieux.
Dix collègues de travail, ou d’amis décident de créer une association. Un esprit baroudeur, une forte volonté d’aider les plus démunis, au départ beaucoup de temps libre mais nous constatons que des milliers de bonnes volontés se sont éteintes dès la première année ! Faire du bien, aider son prochain, respecter ses principes religieux, voici de belles intentions mais de nos jours pouvoir donner satisfaction à ses projets réclament beaucoup de sacrifices et la vie moderne ne laisse pas beaucoup de place à cela!
« Le charity business » a réinventé l’action humanitaire. Il fait naitre de nouvelles attitudes entrepreneuriales où chacun y trouve son compte : la structure associative ainsi que tous les satellites qui gravitent autour d’elle et qui y trouvent
un intérêt financier teinté de probité. On ne parle pas d’enrichissement mais seulement de rétribuer les acteurs sociaux selon leurs implications à la juste valeur de leur travail.
Pour que l’humanitaire fonctionne, l’on doit de nos jours travailler avec un business plan, une comptabilité, des moyens entrepreneuriaux, des hommes et des femmes, qui bien que passionnés par leur travail ont le droit d’être rétribuer pour leur apport à la vie de la cité. Une association n’a pas les moyens de penser comme une entreprise, organiser, négocier, construire, s’intéresser au marketing de quelque sorte. Elle doit déléguer à des professionnels qui sauront la conseiller, l’orienter, comptabiliser, négocier, médiatiser mais surtout lui apporter chaque année un développement exponentiel qui sert et défend les populations démunies.
La Société Be Good organise des évènements humanitaires pour le compte des associations. Elle développe des concepts générateurs de rentabilité financière pour ses donneurs d’ordre. Elle soulage les associations des départements dont elles ne sont pas en mesure de gérer de façon optimisée exemple force de vente, achat de dons, organisation d’évènements, trafic médiatique, négociations, lobbying etc…
La Société Be Good spécialiste dans la fourniture de services fournis aux structures associatives qui veulent basculer dans le « charity Business ». Be Good doit trouver des idées novatrices pour développer le chiffre d’affaire des associations humanitaires à but non lucratif d’intérêt général qui ne bénéficient pas de ressources étatiques.
Be Good fait l’audit de l’association demanderesse, elle met en exergue les points faibles, et optimise ses points forts pour les convertir en produit commercial et en tirer des recettes qui peuvent être affectées à l’action humanitaire.
Quel marché BE GOOD vise ?
BE GOOD s’oriente vers différentes cibles à savoir :
Toutes associations qui désirent optimiser leurs compétences et qui recherchent de nouveaux axes de développement et de fonds financiers.
Les entreprises qui s’inscrivent dans l’action sociale d’une part pour participer à la vie de la cité tout en voulant développer la cohésion sociale dans leurs structures afin d’avoir un meilleur rendement ce qui demande une certaine expérience.
Les grands comptes qui sont friands de labels ou de certifications et qui recherche à répondre au cahier de charge comme dans le cas de la RSE label 26000 –volet 9 chapitre humanitaire. Ces derniers doivent organiser des actions humanitaires sur le terrain.
Quelle est ma cible ?
Les présidents d’association, les chefs d’entreprise et responsables relations humanitaires, les responsables RSE, les acteurs sportifs, les ministères département social, les donneurs d’ordres privés ou institutionnels, toutes personnes en relation avec le tissu associatifs.
Quelle structure d’entreprise doit adopter BE GOOD ?
SARLAU pendant les premières années. Dès que son chiffre d’affaire sera « en vitesse de croisière »elle devra appréhender le statu S.A. En effet, son capital doit pouvoir s’ouvrir aux nouvelles ressources, elle doit avoir son propre commissaire aux comptes pour sa bonne notoriété et son audit clair concis et rigoureux.
À quelle concurrence suis-je confrontée ?
Les grandes associations d’utilité publique qui sont omniprésentes sur le terrain social
Quels prix dois-je envisager pour mes produits / services ?
Les services doivent enregistrer un indice de 3 (x3) concernant les achats, les services et prestations.
Quelles sont les contraintes réglementaires ?
Obtenir les autorisations
Vérifier les documents administratifs
Veuillez au bon déroulement des missions selon la loi en vigueur au Maroc
Quelle est ma stratégie marketing ?
Prospection téléphonique
Rendez-vous
Community Management
Médias
Tables rondes
Viste explorations des lieux de besoin
Quand sera atteint mon seuil de rentabilité ?
Dans cinq ans
Quelle est la taille de votre marché? Est-il local, national, mondial?
Le marché sera local voire international en particulier les associations désireuses de faire parvenir des dons ou matériel avec un évènement accompagnateur pour réaliser l’action, filmer, divulguer et c..
Combien de clients pouvez-vous espérer?
Une quantité importante
De nouveaux acteurs peuvent-ils apparaître à brève échéance ? Be Good de par son expérience et sa nature à s’adapter au tissu économique et social dispose d’un capital humain déjà rodé en contact avec l’action humanitaire.
Des suiveurs peuvent copier le concept mais son exercice demande une connaissance des rouages des différents acteurs sociaux et économiques.
Votre offre est-elle en phase avec les attentes du marché ?
Notre offre n’est pas encore bien considérée par le marché. Elle répond à une attente mais les clients potentiels n’y sont pas encore habitués. Nous savons créer le besoin.
Quels sont les critères d’achat de vos clients? Sont-ils loyaux et captifs?
Ils deviennent loyaux quand leur sécurité est assurée, que leurs documents administratifs sont remis et que leur publicité se fait à travers les moyens médiatiques. Ils sont captifs car ils connaissent la valeur ajoutée de la renommée citoyenne.
Quels sont les bénéfices clients de votre produit ou service ?
Le bénéfice est d’une part de s’inscrire dans l’action humanitaire, mais aussi de bénéficier de l’identité citoyenne pour remplir leurs engagements dans l’action humanitaire et obtenir une plus grande crédibilité envers leurs clients sans omettre les obligations du volet 9 de la RSE pour obtenir le précieux sésame le label 26000.
Etes-vous en concurrence, frontale ou partielle, avec une offre existante? Non car peu de sociétés au Maroc ont développé des business plan en relation avec l’action humanitaire.
Pouvez-vous facilement vous différencier et trouver une position de “niche”?
Oui
Combien d’années d’expérience du secteur faut-il pour être crédible auprès de vos clients ?
5 ans
Votre savoir-faire vous donne- t-il un réel avantage ?
Oui car notre savoir-faire devient notre réputation
Où se crée la valeur ajoutée dans la filière ?
Dans le bénéfice des services et produits fournis mais aussi dans la prestation fournie à une structure humanitaire qui jouit d’une bonne notoriété.
Comment évoluent les prix ?
En fonction de la demande des clients et de leurs obligations citoyennes et de leur désir de profiter de vecteurs humanitaires pour obtenir les avantages d’une mécanique publicitaire nouvelle génération
Qui sont vos fournisseurs? Sont-ils nombreux ? Concentrés ?
Les sociétés d’alimentation, les sociétés de textiles, les transporteurs, les plateformes de développement, les sociétés d’évènementiel, les C.H.R (Cafés hôtels restaurants) les organismes de voyages, les compagnies aériennes etc…
Est-il facile d’en changer ?
Oui
Connaissez-vous une personne avec qui vous pouvez faire régulièrement le point sur l’avancement de votre projet ?
Oui mon réseau en France
Pouvez-vous vous appuyer sur une équipe “soudée”, complémentaire, expérimentée ?
Oui
Les compétences clés pour la réussite de votre projet y sont-elles représentées ?
Oui
A défaut, pouvez-vous compter sur des partenaires extérieurs ?
Oui
Avez-vous prévu et organisé la fidélisation de vos “hommes clés” ?
Oui en optimisant leurs salaires et implications professionnelles et formation
Avez-vous défini des cibles prioritaires ?
Oui les associations, les grands comptes qui sont pratiquent la RSE, les entreprises qui veulent investir dans l’image publicitaire humanitaire.
Ferez-vous face à un réseau de prescripteurs actifs ?
Pas vraiment
Quels sont les moyens commerciaux à mettre en œuvre pour atteindre votre objectif de chiffre d’affaires ? Force de vente, plateforme community management, réseaux extérieurs
Votre processus de commercialisation est-il défini ? Nous mettons en place des systèmes et des politiques commerciales. Nous nous inspirons de ce qui se fait dans d’autres pays.
Comment allez-vous organiser votre force de vente ? Par départements où chaque service aura sa propre activité.
Avez-vous prévu un système de prévision et de reporting ? Oui toutes les bases de données doivent être complétées et tenues.
Vous faut-il une fonction marketing ? Oui c’est essentiel
Avez-vous chiffré votre budget de communication ? Oui environ 100 000 dhs
Votre savoir-faire technologique peut-il faire l’objet d’une protection juridique? Les logos et marques sont déposées les concepts ne peuvent fonctionner sans être dépendant d’une association humanitaire reconnue qui garantissent la bonne efficacité du projet.
Quel est votre besoin financier global ?
2 000 000 Dhs
Votre business est-il générateur ou consommateur de cash ? Ni l’un ni l’autre.
Quels seront vos besoins de trésorerie en première année d’activité? 500 000 Dhs
Quel sera le délai d’encaissement des clients? Pourrez-vous obtenir des fournisseurs des délais de paiement? Rapidement
Au bout de combien de mois vos flux de trésorerie seront-ils, de manière récurrente, positifs ? 6 mois
Quel est le montant prévisionnel de votre besoin de financement cumulé avant d’atteindre le point mort en trésorerie?
2 000 000 Dhs
Quand pensez-vous atteindre le seuil de rentabilité? Après 1 an
La rentabilité dégagée à l’horizon de trois à cinq ans est-elle suffisante?
Elle doit trouver les meilleures niches, les développer, abandonner les systèmes peu productifs et coûteux. Réformer la force de vente qui récolte les dons financiers par un système peu rentable et fastidieux orienté vers les nouvelles pratiques de collecte comme les sites de « crown funding ». La force de vente sera utilisée comme force de collecte des dons en nature ce qui deviendra plus aisé pour les prospectrices.
Conclusion :
Nous devons changer l’image, l’esprit, le fonctionnement, la recherche de ressources de l’associatif et tendre à éviter la politique de la main tendue pour obtenir des montants, de nos jours nous devons convaincre le chef d’entreprise, le responsable associatif, l’acteur social ou économique à considérer qu’un partenariat est plus salutaire, rentable où tout le monde y trouve son compte, mais surtout repenser le business plan des associations grâce aux compétences des entreprises comme Be Good.